Carlo Lucarelli, un auteur italien que je ne connaissais pas, met en scène Laura, une étudiante qui, par malchance, se trompe de sac de voyage et embarque, sans le savoir, quatre kilos de cocaïne pure.
Elle se retrouve au centre d’un quiproquo déjanté et en traquée par une bande d’individus peu recommandables.
Au final, ce petit thriller d’un peu moins de 150 pages est à lire d’une traite.
Delirium tremens de Ken Bruen
J’adore Ken Bruen.
Pour moi c’est LE maître Irlandais du roman noir
Tous ses romains sont des vrais « pépites » du roman noir et Delirium Tremens ne déroge pas à la règle.
Magistral.
Percutant.
Ken Bruen nous livre un roman noir de pur pessimisme et de noirceur tout en restant un délice par son style. Ken Bruen sait construire un univers dans lequel on plonge tête la première et à chacun de ses romans je retrouve le noir que j’aime, celui de Robin Cook ou Jim Thompson.
La traduction de Jean Esch est comme toujours excellente.
Si vous ne connaissez pas encore Ken Bruen, je me demande encore ce que vous attendez pour vous y mettre .
Le pitch :
Jack Taylor vient de se faire virer de la la police irlandaise et devient détective privé. Une femme lui demande de prouver que sa fille a été assassinée et non suicidée.
On ne peut pas faire plus simple.
Pour moi c’est LE maître Irlandais du roman noir
Tous ses romains sont des vrais « pépites » du roman noir et Delirium Tremens ne déroge pas à la règle.
Magistral.
Percutant.
Ken Bruen nous livre un roman noir de pur pessimisme et de noirceur tout en restant un délice par son style. Ken Bruen sait construire un univers dans lequel on plonge tête la première et à chacun de ses romans je retrouve le noir que j’aime, celui de Robin Cook ou Jim Thompson.
La traduction de Jean Esch est comme toujours excellente.
Si vous ne connaissez pas encore Ken Bruen, je me demande encore ce que vous attendez pour vous y mettre .
Le pitch :
Jack Taylor vient de se faire virer de la la police irlandaise et devient détective privé. Une femme lui demande de prouver que sa fille a été assassinée et non suicidée.
On ne peut pas faire plus simple.
Les gardiens de l'ordre de Nicolas Boukhrief
Hier soir il n’y avait pas grand-chose à la télé (comme d’habitude me direz-vous) et je suis laissé tenter par Les gardiens de l'ordre de Nicolas Boukhrief .
Je pensais ne pas avoir déjà vu ce film mais en fait si.
De mémoire les critiques n’étaient pas exceptionnelles mais j’ai tout de même passé un bon moment en compagnie de Cécile de France (le contraire serait étonnant) et de Fred Testot.
Le pitch est classique. Lors d'une ronde de nuit qui tourne mal, Simon et Julie, deux flics de quartier, blessent le fils d’un député qui a abattu sans raison un de leurs coéquipiers. Accusés à tort de bavure et lâchés par leur hiérarchie, ils décident de prouver leur innocence en enquêtant sur la drogue responsable du coup de folie de leur agresseur.
Pour moi ce film est un très polar. Le charme de Cécile de France explose et Fred Testo est impeccable. Certes cela peut paraître un peu irréel que des vulgaires gardiens de la paix deviennent soudainement des supers infiltrés dans un réseau de drogue parisien mais le duo de Cécile de France/ Fred Testo marche à merveille. La musique et l'ambiance sont très réussies.
Tout ça au service d’un scénario sombre redoutable en rebondissements et en suspens. Captivant jusqu'à la dernière minute.
Alors oui, c’est un grand plaisir à voir et, dans mon cas, à revoir !
Des mules et des hommes de HARRY CREWS

Une écriture puissante, remarquablement traduite, à lire et à relire.
Pour ce douloureux flash-back sur les six premières années de sa vie, Crews ne s'épargne rien. Dès les premières pages, où il convoque tous ses talents de conteur pour évoquer la manière dont son père a chopé la chtouille avec une Indienne dans les marais de Floride, il fait remonter les souvenirs de la manière la plus crue. Il se fait fort d'écrire sans esquive, comme un boxeur qui monterait sur le ring sans protection, escamote «le pratique et confortable déguisement de la fiction». «Il faudrait faire ça à poil, prévient-il d'entrée. Sans la distance de la troisième personne du singulier. Seul l'usage du je, ce mot ravissant et terrifiant à la fois, me ferait parvenir là où j'avais besoin d'aller.» Il y a cependant dans ses souvenirs et dans la manière dont il les accommode toute la matière pittoresque d'un formidable roman. Des personnages très familiers qui se regardent boire debout devant la glace et se régalent de castagnes. Des métayers usés par la misère qui cherchent des histoires à tout bout de champ. D'autres qui en racontent. Contes à dormir debout, à faire se dresser le poil. «C'étaient toujours les femmes qui me foutaient la trouille. Hommes et femmes racontaient des histoires pleines de violence, de maladie et de mort. Avec les femmes les histoires n'étaient jamais allégées d'un peu d'humour, mais au contraire remplies de visions d'apocalypse"»
Le môme Crews est ainsi victime du caquetage d'une vieille tante qui lui explique comment les oiseaux envoyés de l'enfer prennent possession des hommes en crachant comme des serpents. «Le glaviot de l'oiseau, il se mélange avec ta salive, si bien que ta salive c'est la sienne et toi t'es lui», dit la femme à l'enfant. Avant d'ajouter: «Je crois bien qu'un oiseau t'a... craché dans le bec, mon p'tit.» Le gamin tourmenté est aussi la proie de crises de somnambulisme qui le jettent hagard dans les champs de coton et dont il se réveille glacé, les lèvres en sang, «coupable de quelque chose que ni Dieu ni l'homme ne peuvent pardonner». Il n'est pas épargné par la maladie. Elle lui paralyse les jambes, fait de lui la curiosité du patelin et l'expédie un temps du côté des «anormaux». Dans ce cauchemar au quotidien, il glisse quelques mauvais rêves. Régulièrement, il se voit provoquer l'accident d'un car de ramassage scolaire: «Des enfants disloqués qui pendent par les vitres ouvertes (...), qui dégoulinent d'essence à cause du réservoir crevé et qui sont en train de frire sans aucun bruit. Je peux les sentir cramer. Je suis terrifié à l'idée des conséquences, mais je suis quand même content de l'avoir fait.»
C'est pendant ces années où la vie lui fait violence que Harry Crews se projette dans la peau de l'écrivain à cran qui invitera dans ses romans tous les freaks, déjantés et rebuts de la société. Il met son imagination en branle en feuilletant les pages d'un catalogue de vente par correspondance. Les mannequins arborent une santé magnifique, il ne se fie pas à leur mine et n'en démordra jamais: «Je savais que sous les habits fantaisie, fallait bien qu'il y ait des cicatrices, fallait bien qu'il y ait des bosses et des furoncles d'une manière ou d'une autre parce qu'il n'y avait pas moyen de vivre autrement en ce monde.»
Ce livre est le récit inoubliable des premières années d'Harry Crews. Il naît en pleine Grande Dépression, dans une misérable baraque de paysan au sud de la Géorgie. Mais si Bacon County est une région au sol aride et aux vendettas sanglantes, c'est aussi un lieu magique où les serpents parlent, où les oiseaux peuvent s'emparer de l'âme d'un enfant, où les prédicateurs et les sorcières gardent fantômes et démons à portée de main. C'est surtout une terre d'hommes et de femmes pour qui la solidarité n'est pas un vain mot et le respect du soleil et de la pluie l'essence même de l'existence. À la fois choquant, attendrissant et drôle, " Des mules et des hommes " raconte les débuts d'un écrivain dans un monde où " survivre est suffisant comme triomphe ".
Edge of tomorrow.
Je viens de regarder Edge of tomorrow.
Une merveille de science fiction.
C'est simple, si vous aimez la SF, l'action, les anomalies temporelles et le film Matrix, vous allez adorer Edge of tomorrow.
Scénario, graphismes et mise en scène irréprochables. Le tout très bien filmé avec des plans très complets.
Bref, de l'action intelligente comme j'aime avec un scénario poussé a la perfection et des acteurs qui sont dans leur rôle a fond. Parfois très drôle.
Je recommande !
Une merveille de science fiction.
C'est simple, si vous aimez la SF, l'action, les anomalies temporelles et le film Matrix, vous allez adorer Edge of tomorrow.
Scénario, graphismes et mise en scène irréprochables. Le tout très bien filmé avec des plans très complets.
Bref, de l'action intelligente comme j'aime avec un scénario poussé a la perfection et des acteurs qui sont dans leur rôle a fond. Parfois très drôle.
Je recommande !
Est-ce que ce bruit dans ma tête te dérange ?, par Steven Tyler
Arrivé dans ma P.A.L récemment et directement mon livre de chevet. "Est-ce que ce bruit dans ma tête te dérange ? "
Une biographie dans la lignée de celles des Motley Crue, Lemmy et autres Ozzy Osbourne, pleine d'anecdotes croustillantes, révélées avec humour et honnêteté par une legende du Hard rock!
Une biographie dans la lignée de celles des Motley Crue, Lemmy et autres Ozzy Osbourne, pleine d'anecdotes croustillantes, révélées avec humour et honnêteté par une legende du Hard rock!
L'hexamètre de Quintilien, d'Elisa Vix
J’avoue ne pas avoir lu d’Elisa Vix depuis un petit moment
et ce fut un immense plaisir de lire son dernier petit roman (200 pages), L'hexamètre de Quintilien .
Difficile de définir un genre précis pour le roman si l’on
souhaite le « ranger » dans une catégorie :
Polar ? Policier ? Roman noir ?
Une chose est sûre, c’est bien écrit.
L'hexamètre de Quintilien est "page-turner" diablement
efficace (je l’ai lu en 2 heures). Une fois entre nos mains, difficile de le
reposer.
Tous les ingrédients pour passer un bon moment sont réunn. L’humour
est présent. Les personnages attachants. Une intrigue bien ficelée.
Au final, un roman
très fort en émotion avec un final qui vous laissera sans voix .
P.A.L de septembre
La Môme vert-de-gris, " Série noire" numéro 1
La Môme vert-de-gris — Poison Ivy dans l'édition originale britannique — est un roman policier publié par Peter Cheyney en 1937. C'est le 2e roman de la série mettant en scène Lemmy Caution, détective privé.
En France, le roman est le premier titre publié dans la Série noire aux éditions Gallimard en 1945. Ce fut le premier numéro de la mythique collection.
Même si je ne possède pas de version originale mais une réédition de 1954, cet exemplaire reste une pièce maîtresse de ma collection.
Il est en outre adapté au cinéma en 1953 sous le titre éponyme par Bernard Borderie, avec Eddie Constantine dans le rôle de Lemmy Caution.
En France, le roman est le premier titre publié dans la Série noire aux éditions Gallimard en 1945. Ce fut le premier numéro de la mythique collection.
Même si je ne possède pas de version originale mais une réédition de 1954, cet exemplaire reste une pièce maîtresse de ma collection.
Il est en outre adapté au cinéma en 1953 sous le titre éponyme par Bernard Borderie, avec Eddie Constantine dans le rôle de Lemmy Caution.
Film : L’Agence (The Adjustment Bureau)

Matt Damon et Emily Blunt forme un très beau couple dans ce film. Le duo marche à merveille.
Le scenario, une adaptation de l’excellent philip k dick , est vraiment travaillé et bien ficelé. Course poursuite d'un destin qui ce veut autre qu'il n'est.
Et malgré un deuxième visionnage, le film reste une bonne surprise.
Petit coup de cœur pour ce film.
Du réalisme dans le roman noir.
Perso, je me fous du réel au cinéma ou dans les bouquins.
Je rejoins complètement Sophie dans son point de vue sur le point de vue.
J'avais déjà abordé brièvement le sujet de Melville et des ses bagnoles américaines.
Je pense aussi à "À bout de souffle" où la nana se balade en vendant ces New-York Times à Paname. Pour dire la vérité, j'avais même pas calculer l'incohérence, je m'étais même dit " Ah ouais ? Dans le temps on pouvait acheter le Times sur les Champs ? " (J’étais jeune à l'époque - 15 ans quoi )
Et puis les films de Nicloux, bien sûr.
Là aussi, un traitement réaliste de l'image et des attitudes. Réaliste dans la banalité. Mais derrière cette banalité, des intrigues extraordinaires où des gens ordinaires se retrouvent à faire des actions hors du commun.
Est-ce que ça pose un problème ? Non, Nicloux se fout du réalisme au cinéma.
Mais le résultat est là.
Je rejoins complètement Sophie dans son point de vue sur le point de vue.
J'avais déjà abordé brièvement le sujet de Melville et des ses bagnoles américaines.
Je pense aussi à "À bout de souffle" où la nana se balade en vendant ces New-York Times à Paname. Pour dire la vérité, j'avais même pas calculer l'incohérence, je m'étais même dit " Ah ouais ? Dans le temps on pouvait acheter le Times sur les Champs ? " (J’étais jeune à l'époque - 15 ans quoi )
Et puis les films de Nicloux, bien sûr.
Là aussi, un traitement réaliste de l'image et des attitudes. Réaliste dans la banalité. Mais derrière cette banalité, des intrigues extraordinaires où des gens ordinaires se retrouvent à faire des actions hors du commun.
Est-ce que ça pose un problème ? Non, Nicloux se fout du réalisme au cinéma.
Mais le résultat est là.
Un dernier verre avant la guerre, de Dennis Lehane

Même si certains éléments sont prévisibles, l'intrigue se tient et donne envie d'aller au bout du livre.
Lehane tranche dans le vif. Montre plusieurs points de vue, sans fausse note. Une qualité d'écriture et d'intrigue remarquable, digne d'un grand talent.
Le duo de Patrick Kenzie et Angela Gennarofonctionne parfaitement. Ils sont imparfaits et cabossés par la vie ce qui les rend si attachants.
A lire de toute urgence !
Un extrait pour la route :
"J'ai de nouveau tourné en prenant Myrtle Street, une rue pas plus large qu'un bout de fil dentaire, avec de hauts bâtiments coloniaux qui se serraient contre moi. Il est impossible de suivre quelqu'un dans Beacon Hill sans se faire repérer. Les rues ont été construites avant les voitures et, je suppose, avant les gros ou les grands.

The Town : (Le prince des braqueurs), de Chuck Hogan
J'avais lu de bonnes critiques à propos du film et je m'étais interessé au livre sans jamais commencé sa lecture. Il se trouvait dans ma PAL depuis un bon moment.
L'histoire est simple : Doug MacRay est un braqueur ambitieux de Charlestown, banlieue de Boston. Il rêve au casse du siècle. Lors d'un hold-up, Doug tombe amoureux de Claire, la directrice de la banque. Poursuivi par le FBI et soupçonné par ses amis, il ne parvient pas à choisir entre sa vie de truand et son amour. Son destin s'en chargera : le plus gros braquage jamais réalisé se prépare...
On est plongés directement au coeur de l'action. The Town , c'est la « ville », c'est Charlestown, un quartier sensible de Boston, ou le règne de la pègre et des dealers à un peu perdu le faste d'antan.
L'auteur, connait son sujet et sa ville. The Town, c'est la vie, la vraie. Celle ou on ne trouve ni Bon ni Méchants, où il n'existe pas de séparation nette entre le Bien et le Mal. Les personnages, possèdent chacun leurs qualités et leurs défauts, des forces et des faiblesses. Cette humanisation plutôt réussie donne la profondeur et le réalisme dont a absolument besoin ce genre d'histoire pour ne pas tourner au ridicule.
Excellent moment de lecture. Un bon polar pour les amateurs du genre.
Cent Mètres de Silence, Jim Thompson - Série noire N°54

Comme toujours c'est noir. Thompson décrit un monde complètement paranoïaque où il faut, pour espérer avoir une chance de s'en sortir, écrabouiller l'autre avant qu'il ne vous écrabouille.
En toile de fond, Jim Thompson décrit les prémices de la concentration des grands groupes de diffusions de films qui tentent d'étouffer les petites salles indépendantes. Vu la situation et prêt à tout, Joe magouille pour s'en sortir et se lance dans une arnaque à l'assurance.
Et puis il y a les autres, et parmi les autres, il y a toujours plus pourri que soi. Ceux qui se jettent sur vous quand vous êtes faible...
Il y a aussi l'amour, toujours une histoire d'amour chez Thompson. Dans Cent Mètres de Silence, L'auteur en raconte une terrible, sans concession.Il adore décrire des amours improbables et désespérés, c'est en partie le cas dans ce livre.
On retrouve dans Nothing More Than Murder (le titre américain) les salauds de l'univers thompsonnien qui se démènent dans une mer peuplée de requins.
Joe ne vaut pas mieux que les autres avec ses sursauts de culpabilités qui le pousse vers la folie...
A découvrir et à déguster comme toute l'oeuvre de Thompson...
Au coeur de la mort de Lawrence Block
Premier tome de la série des Matt Scudder, le roman, typique du polar noir, nous entraîne dans le New York des années 70 avec son lot de prostitués, de paumés, de flics et de politiciens corrompus. Une ambiance somme toute assez classique, un héros typique, un dénouement finalement assez attendu. Rien de très innovant dans ce polar qui se lit avec plaisir sans non plus révolutionner le genre même si le côté old school est très classique ; un bon livre, mais pas inoubliable.
De quoi ça cause :
3/5,
détective privé,
Lawrence Block,
Matt Scudder,
meurtre,
new-york,
série noire,
tueur en série
Juillet 2014 : Lecture pour l'été
Quatre livres dans mes valises pour ce mois de juillet.
3 Policiers/thrillers/romans noirs et un Prix Renaudot.
The Town/Le Prince des braqueurs de CHUCK HOGAN. Je connais le film, sans l'avoir vu et Stephen King annonce une intrigue riche qui entremêle amitié, amour naissant et suspense haletant. Je pense que c'est un bon bouquin.
The Town se passe à Boston et j'y reste avec mon deuxième libre de vacances, Un dernier verre avant la guerre, de Dennis Lehane.
On ne présente plus Lehane. Un dernier verre avant la guerre est son premier roman et l'action se situe également à Boston.
Il me semble que Lehane a reçu un prix (genre premier roamn) à l'époque et lancer sa carrière avec ce livre.
Mon troisième Policiers sera, Au coeur de la mort, de Lawrence Block que l'on ne présent plus également. J'adore Lawrence Block et je ne suis jamais déçu. Du roman policier dans les années 70, tous les ingrédients du roman noir : putes, paumés, flics et politiciens corrompus.
Et puis Naissance, folie personnelle de Yann Moix.
Pavé de plus de 1000 pages dans lequel l’auteur se lance avec tumulte à la recherche d’une filiation pour donner un sens à sa venue au monde.
J’espère passer un bon moment..
3 Policiers/thrillers/romans noirs et un Prix Renaudot.
The Town/Le Prince des braqueurs de CHUCK HOGAN. Je connais le film, sans l'avoir vu et Stephen King annonce une intrigue riche qui entremêle amitié, amour naissant et suspense haletant. Je pense que c'est un bon bouquin.
The Town se passe à Boston et j'y reste avec mon deuxième libre de vacances, Un dernier verre avant la guerre, de Dennis Lehane.
On ne présente plus Lehane. Un dernier verre avant la guerre est son premier roman et l'action se situe également à Boston.
Il me semble que Lehane a reçu un prix (genre premier roamn) à l'époque et lancer sa carrière avec ce livre.

Et puis Naissance, folie personnelle de Yann Moix.
Pavé de plus de 1000 pages dans lequel l’auteur se lance avec tumulte à la recherche d’une filiation pour donner un sens à sa venue au monde.
J’espère passer un bon moment..
De quoi ça cause :
chuck hogan,
dennis lehane,
Lawrence Block,
lecture été,
pal,
policier,
roman noir,
thriller,
yann moix
22/11/63 de Stephen King
Je viens de passer une semaine formidable en compagnie du grand Stephen King, toujours capable de me toucher par les émotions de ses personnages (comme il avait su le faire dans Le Talisman des territoires, sans doute mon préféré)
Au fil de ces 1000 pages, il nous plonge dans un de ses romans les plus ambitieux, mêlant réalité et fiction, enquête policière, reconstitution historique et histoire d'amour.
Au final, un excellent livre me prouvant une nouvelle fois de plus que Stephen King reste, pour moi, le plus grand des auteurs contemporains
Le monde de Raymond Carver.
Bientôt les vacances et les longues heures au bord de la piscine/plage alors on commence à monter la pile de livre.
On va commencer par "Le monde de Raymond Carver."
La Nuit tombe - Tirez sur le pianiste ! - Cauchemar de David Goodis
Cette semaine j'ai lu un recueil, publié dans la "Collection Bibliothèque Noire" de Gallimard en 1988. Au menu, 3 roman noir de Goodis : La Nuit tombe - Tirez sur le pianiste ! - Cauchemar
Commençons par la "La nuit tombe". On va faire simple, cette histoire est remarquable.
Ecrit en 1947, on ne sent pas trop le poids des ans et les évolutions de la technologie car l'écriture et l'ambiance sont là.
J'adore la façon dont Goodis traite son personnage, désabusé et désespéré. Le texte est fluide et bien foutu. Goodis aime écrire sur son époque et les vices de l’humain.
La nuit tombe est un excellent roman noir qui m'a tnu en haleine jusqu'à la dernière ligne.
"Tirez sur le pianiste" encore un roman culte que l'on ne présente plus.
Une histoire sombre et désespérée avec des personnages sont au bout du rouleau.
Sans aucun doute un chef d'oeuvre du genre.
Enfin, "Cauchemar", premier roman de David Goodis traduit en français.
La traque d'un homme accusé de meurtre à tord. Comme j'ai pu le découvrir à la lecture des deux premiers roman de ce recueil,Goodis aime mettre ne scène des hommes anodin, tranquille pour qui la vie bascule dans un cauchemar.
Il a cette façon de "balancer" des gens normaux au milieu des emmerdes et de "regarder" comment ils s'en sortent.
Une écriture sobre. Une intrigue angoissante comme il faut et une fin ambigüe à souhait.
"Cauchemar" est encore un excellent roman où s’exprime tout tout l'art du suspense et de l’angoisse de Goodis
Quand on à découvert l'univers de Goodis on à qu'une envie , y retourner .
De quoi ça cause :
20ème siècle,
angoisse,
assassin,
classique,
croyances,
déchéance,
littérature américaine,
livre adapté au cinéma,
meurtre,
prisons,
révolte,
roman noir,
romans,
série noire
Duma key de Stephen King
Une fois de plus King nous délivre un grand roman.
J'ai lu sur le net que ce roman de King est un livre capricieux qu'il faut le dompter tellement il est dur à apprivoiser mais que des que ce fait celui-ci livre ses secrets et captive avec force. Oui, le début est lent à se mettre en place mais il faut bien planter le décor et tous les éléments se mettent en place quand il y a besoin.
La grande force de Stephen King, et c'est pour ça que je l'adore ( c'est pour ça que j'ai lu tous ses livres en français, sans exception) est qu'il sait y faire pour que l'on s'attache aux personnages : on rit, on pleure, on ressent, on respire avec eux.
On y retrouve ses références habituelles et ses clés de lecture.
Un pur moment de bonheur littéraire...
"Mettez un trouduc dans un avion à Boston, c'est un trouduc qui en descendra à San Fancisco."
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