Du réalisme dans le roman noir.

Perso, je me fous du réel au cinéma ou dans les bouquins.
Je rejoins complètement Sophie dans son point de vue sur le point de vue.

J'avais déjà abordé brièvement le sujet de Melville et des ses bagnoles américaines.
Je pense aussi à "À bout de souffle" où la nana se balade en vendant ces New-York Times à Paname. Pour dire la vérité, j'avais même pas calculer l'incohérence, je m'étais même dit " Ah ouais ? Dans le temps on pouvait acheter le Times sur les Champs ? " (J’étais jeune à l'époque - 15 ans quoi )
Et puis les films de Nicloux, bien sûr.
Là aussi, un traitement réaliste de l'image et des attitudes. Réaliste dans la banalité. Mais derrière cette banalité, des intrigues extraordinaires où des gens ordinaires se retrouvent à faire des actions hors du commun.
Est-ce que ça pose un problème ? Non, Nicloux se fout du réalisme au cinéma.
Mais le résultat est là.



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