Je voyage seule de Samuel Bjork
Que de déceptions dans ce roman : des longueurs, trop d'intrigues enchevêtrées et trop de personnages ! Complètement paumé !
Bref, je n'ai pas du tout accroché à la lecture et je n'ai pas tenu malgré une première partie intéressante. En plus, je ne suis pas fan des meurtres en série et malgré une lecture d'abord agréable, mais vite laborieuse. Pas assez de suspense et de l'action plan plan.
Je m'attendais à beaucoup mieux.
De quoi ça cause :
2/5,
alcool,
anges,
anti-héros,
enlèvement,
littérature scandinave,
police,
policier scandinave,
roman,
romans policiers et polars,
sectes,
suspense,
thriller,
tueur en série norvège
Mariachi Plaza de Michael Connelly
Mariachi Plaza est un très bon opus de la série, à l'intrigue nébuleuseque, que tous les fans apprécieront.
Bosch, que l'on attend chaque année (ce fut mon deuxième Connely de l'année Dans la ville en feu, lu en janvier), est de retour et approche de la retraite, mais encore des affaires non classées a traiter !
Aux "haters" qui pensent que Connelly écrit toujours les mêmes livres en moins bien ce roman apporte la plus belle preuve du contraire.
Seul bémol... Peut-être la dernière enquête de Harry Bosch pour la police de Los Angeles !
Bosch, que l'on attend chaque année (ce fut mon deuxième Connely de l'année Dans la ville en feu, lu en janvier), est de retour et approche de la retraite, mais encore des affaires non classées a traiter !
Aux "haters" qui pensent que Connelly écrit toujours les mêmes livres en moins bien ce roman apporte la plus belle preuve du contraire.
Seul bémol... Peut-être la dernière enquête de Harry Bosch pour la police de Los Angeles !
De quoi ça cause :
2016,
4/5,
cold case,
enquêtes,
Harry Bosch,
Los Angeles,
meurtre,
mexique,
Michael Connelly
Dick Contino's blues de James Ellroy
Court roman mettant en scène Dick Contino dans ses œuvres d'accordéoniste.
L'intrigue est, comme toujours avec Ellroy, bien construite avec un mélange de scènes drôles ou effrayantes.
J'adore Ellroy et l'admire depuis des années mais c'est vrai que ses livres ne sont pas toujours facile, alors ce Dick Contino's blues n'est pas, ) mes yeux, son meilleur bouquin, mais sans doute le plus "abordable", le moins violent et excessif.
Bon moment de lecture
Condor de Caryl Férey
Condor, c’est l’histoire d’une enquête menée à tombeau ouvert, une plongée dans l’histoire du Chili, mais aussi une histoire d’amour entre Gabriela, jeune vidéaste mapuche , et Esteban, avocat spécialisé dans les causes perdues.
L'intrigue est ficelée malgré une multiplicité de personnages.
Tout fonctionne à merveille.
De quoi ça cause :
2016,
5/5,
Amérique du sud,
année 70,
Caryl Férey,
chili,
enquêtes,
série noire
Le temps est assassin de Michel Bussi

Comme toujours avec Mussi, on est vite happé par le mystère,les faits qui ne s'expliquent pas et l'on s'interroge sur les fantômes du passé, les soupçons, les fausses vérités.
L'intrigue est superbement construite et les personnages tous excellent.
De quoi ça cause :
2016,
4/5,
accident,
corse,
fantastique,
fausses pistes,
meurtre,
michel bussi,
passé,
thriller
Carnets noirs de Stephen King
Ce roman noir est la suite de Mr. Mercedes. Autant Mr Mercedes m'avait laissé sur ma faim, autant ce deuxième tome de la "trilogie Hodges" m'a embalé.
426 pages de pur bonheur dans lequel tout est lié, logique, implacable. Une fois commencé il est impossible de refermer ce pur thriller qui révèle Stephen King comme grand maître du genre !
Un roman à ne pas rater !
La fille de Brooklyn de Guillaume Musso
Plus le temps passe, plus j'aime Guillaume Musso.
Une fois de plus, il m'a bluffé. Quelle maîtrise du scenario !
Tout est fluide, riche et structuré et l'auteur sait y faire pour que l'on reste accroché à son récit.
C'est bluffant.... même si formaté pour plaire à tous (un peu trop?)
Intervention de Robin Cook
Aujourd'hui j'ai lu mon premier robin Cook. Beaucoup beaucoup de blabla et je suis resté perplexe à la fin de la lecture.
C'est pas mauvais mais pas exceptionnel...
C'est pas mauvais mais pas exceptionnel...
Moi & moi vice versa - Sarah Mlynowski
En vacances je lis de tout. Y compris des livres de filles de chez harlequin (y a avait pas de Musso à la bibliothèque du camping).
Ce Moi et Moi, c'est la foire aux clichés et aux lieux communs avec une écriture assez plate.
Mais ça se lit de la même façon que j'aime regarder de temps en temps des films américains tout autant bourrés de clichés...
Ce Moi et Moi, c'est la foire aux clichés et aux lieux communs avec une écriture assez plate.
Mais ça se lit de la même façon que j'aime regarder de temps en temps des films américains tout autant bourrés de clichés...
De quoi ça cause :
3/5,
comédie,
fantastique,
humour,
journalisme,
mariage,
psychopathe,
quête initiatique,
roman,
romance contemporaine,
romantique,
surnaturel,
univers parallèles
La mort n'oublie personne - Didier Daeninckx
Lecture du jour. Un roman historique passionnant et pessimiste mettant en scène des personnages touchants et amers et décrivant la réalité de la résistance dans le nord de la France; dans une région que je connais bien (Hazebrouck, saint-omer)
Très bon roman cruel et poignant. Réaliste.
Très bon roman cruel et poignant. Réaliste.
De quoi ça cause :
20ème siècle,
4/5,
contemporain,
déportation,
enquêtes,
littérature française,
meurtre,
prisons,
résistance,
roman noir,
Seconde Guerre Mondiale,
social
Cotton Point de Pete Dexter
Pete Dexter nous plonge dans le midwest des années 50 et nous fait vivre des scènes de vie hallucinantes.
Comme toujours c'est de l'excellent roman noir.
Comme toujours c'est de l'excellent roman noir.
De quoi ça cause :
4/5,
adolescence,
amérique des années 1950,
Années 50,
esclavage,
justice,
portraits,
racisme,
roman noir,
ségrégation raciale,
thriller,
violence
MindF**k de Fanie Viljoen
Livre intéressant à la lecture rapide, ce MinF**k est un roman qui à su me tenir en haleine tout du long et que j'ai lu d'une traite. Les personnages sont attachants, l'histoire prenante et l'écriture efficace.
Le terme Mindfuck est un mot d'argot en langue anglaise pouvant à la fois signifier, en tant que verbe, " induire quelqu'un en erreur". Sans trop vous en dire, le titre est particulièrement bien choisi ...
Vous ne savez pas quoi lire cet été, vous n’êtes pas un grand lecteur et les "gros" livres vous font peur ? Foncez sur ce petit roman noir bluffant et imprévisible.
Le terme Mindfuck est un mot d'argot en langue anglaise pouvant à la fois signifier, en tant que verbe, " induire quelqu'un en erreur". Sans trop vous en dire, le titre est particulièrement bien choisi ...
Vous ne savez pas quoi lire cet été, vous n’êtes pas un grand lecteur et les "gros" livres vous font peur ? Foncez sur ce petit roman noir bluffant et imprévisible.
De quoi ça cause :
4/5,
adolescence,
amitié,
meurtre,
musique,
Relation familiale,
solitude
La fille de papier de Guillaume Musso
C'est avec un certain scepticisme que j'ai entamé ce livre de Musso. J'ai longtemps cru que ce n'était pas ma tasse de thé. Bien loin de Ken brunen, Lawrence Block ou de tout mes chouchous de la Série Noire. Alors j'ai zieuté la dernière chronique en date sur Musso, L'instant présent :
"Je dois bien avouer que, pour le coup, Guillaume Musso m'a bluffé."
Et là rebelote !
Je dois dire que j'ai été complètement scotché, du début à la fin. Très surprenant et a dépassé toutes mes attentes. L’écriture est fluide, les personnages attachants et l'intrigue, construite comme un road movie, est prenante et bien ficelé.
Et la fin ?
Une fin à laquelle je n'avais absolument pas pensé. Bien joué !
Un livre qui mérite une bonne note.
Même si c'est Musso...
De quoi ça cause :
4/5,
cinéma,
écrivain,
Etats-unis,
Guillaume Musso,
road-movie,
roman fantastique
Elle et lui de Marc Levy
La foire aux clichés et lieux communs.
Au secours !
Passer de Stanislas Petrosky à Marc Lévy c'est un peu comme faire le grand écart et ça peut faire mal, même si je savais très bien le faire dans ma jeunesse de Karatéka !
Vite lu. Vite oublié.
Ravensbrück mon amour de Stanislas Petrosky
Cela fait maintenant quelques années que je m’intéresse à l'Atelier Mosésu et encore plus depuis quelques mois. J'avais repéré ce Ravensbrück mon amour l'année dernière, intrigué par cette couverture et par ce titre. Je ne lis jamais, où alors très rarement, les quatrièmes de couverture, ni les critiques mais je savais vaguement que ce bouquin était excellent.
"Gunther, jeune artiste allemand enrôlé de force au moment de la construction du camp de Ravensbrück, en devient l’illustrateur officiel, obligé de mettre son talent de dessinateur au service des autorités nazies Rien n’échappe au crayon affûté du jeune homme : l’horreur des camps, les expériences médicales, les kommandos, les mœurs des officiers, la vie, la mort. Dans ce roman noir, Stanislas Petrosky pénètre au cœur de Ravensbrück et en décrit implacablement chaque recoin, afin de ne jamais oublier."
Ce fut lors d'une rencontre, trop rapide, au Salon du Libre de la ville de Nemours que j'ai sauté le pas et rencontré Stanislas Petrosky, ce formidable raconteur d'histoire.
Depuis toujours, la Seconde Guerre Mondiale est une période de l'histoire qui m'attire. Ce Ravensbrück mon amour a agit sur moi comme un véritable aimant.
Remarquablement documenté, Ravensbrück mon amour est impressionnant par sa force narrative, formidable roman sur la nature humaine dans lequel rien n'est omis : La réalité a l’état brut, les conditions de vie et surtout de survie, le travail de ces femmes, les tortures telles qu'elles ont été pratiquées.
Comme tant de livre avec celui-là, Ravensbrück mon amour amène des pistes de réflexion pour comprendre le pourquoi et le comment de toutes ces atrocités.
Stanislas Petrosky nous rappelle de ne jamais taire l'innommable pour nos générations futures.
Bref, j'ai hâte d'échanger avec Stanislas afin de comprendre les origines de ce livre, sur son travail de documentation impressionnant de précision.
De quoi ça cause :
1939-1945,
5/5,
Allemagne,
Atelier Mosésu,
Camp de concentration,
nazisme,
Seconde Guerre Mondiale
Dans la ville en feu de Michael Connelly
Quel plaisir de retrouver Harry Bosch , toujours aussi attachant et irrespectueux de la hiérarchie.
Je l'avais croisé, en coup de vent, dans Le Cinquième Témoin, mais je devais le retrouver de façon plus sérieuse.
Dans la ville en feu est un polar mêlant une enquête sur un cold case et les émeutes et les pillages de Los Angeles en 1992 suite à La fameuse affaire Rodney King.
Malgré une intrigue classique, un peu trop prévisible et des airs de déjà vu, Connelly signe roman policier complet, précis, avec une approche psychologique dépassant la simple succession d'événements.
Un très bon polar .
De quoi ça cause :
1992,
3/5,
cold case,
émeute,
enquêtes,
gang,
Harry Bosch,
Los Angeles,
meurtre,
Michael Connelly,
thriller
L'Ombre de Gray Mountain de John Grisham

Le dernier John Grisham, un thriller juridico-écolo, est un roman interessant.L'écriture est toujours aussi fluide et agréable à lire. Et je suis impressionné par l'énorme travail documentaire !
Comme dans Le contrat, L'Ombre de Gray Mountainest un roman politique, socialement engagé, dénonçant les catastrophes écologiques provoquées par les géants de l'industrie.
De quoi ça cause :
3/5,
Appalaches (États-Unis,
crise économique,
écologie,
John Grisham,
procès,
romans policiers et polars,
thriller juridique
Le syndrome E de Franck Thilliez
Et si la violence était dans nos gènes ?
C'est marrant parce qu'avec le recul je me rend compte être passé complètement à coté du phénomène Franck Thillez !J'ai cherché dans les archives du blog et retrouvé ma critique rapide de La Chambre des morts de Franck Thilliez en 2007. Mais depuis presque 10 ans rien...
Je me rend compte que c'est une grave erreur.
Je me souviens même avoir suivi l'activité de son blog personnel avec intérêt, rêvant, moi aussi de devenir auteur de polar.
C'est à l'occasion d'un rencontre au Salon du Libre de la ville de Nemours que j'ai choisi de me (re)plonger dans son univers. Après en avoir discuté avec lui, je me décide à lire Le syndrome E
"Ils étaient allés au bout. Au bout de l’horreur, dans un voyage sans retour qui avait dévoilé toutes les folies imaginables. Celles des hommes, des pays, du monde. Un monde qui vivait dans le chaos, asservi par le règne de l’image violente."
Un film mystérieux et malsain qui rend aveugle...
Voilà de quoi gâcher les vacances de Lucie Henebelle, lieutenant de police à Lille, et de ses deux adorables jumelles.
Cinq cadavres retrouvés atrocement mutilés, le crâne scié...
Il n'en fallait pas plus à la Criminelle pour rappeler le commissaire Franck Sharko...
Angoisse,stress,suspense,amour,terreur: un sacré cocktail qui m'a tenu en haleine jusqu'au bout.
On s' enfonce dans l'horreur au fur et à mesure que l' on tourne les pages.
Et cette fin ! Je me suis dis " Putain, l'enfoiré !" Pardon Franck, si tu me lis, mais tu l'as bien cherché !
Donc ? J'ai vraiment hâte de lire la suite, Gataca. D'ailleurs, j'ai de la chance, car j'ai acheté direct la trilogie et je peux enchaîner sur Gataca sans attendre des mois !
Cette année 2016 s'annonce excellente (Ce sont surtout mes choix littéraires qui sont excellents )
Le syndrome E, [Gataka] et Atom[Ka] regroupé en un seul "livre de poche" de 1600 pages...
"Un kilo d'angoisse" comme me l'a dédicacé Franck :
De quoi ça cause :
4/5,
cerveau,
Franck Thilliez,
manipulation psychologique,
Nanterre,
nord de la France,
schizophrénie,
thriller,
tueur en série
Le contrat de John Grisham
La fin justifie les moyens.
Grisham, toujours aussi efficace, nous livre un pur thriller juridique.
Le pitch est simple : Une entreprise de produits chimiques est déclarée coupable de la pollution par un tribunal du Mississipi. Les preuves sont irréfutables. Parallèlement au procès, le moment est venu de procéder à l’élection d'un nouveau juge à la cour suprême.
L’entreprise, par la volonté de son président, Carl Trudeau, décide d’aller en appel devant cette cour suprême. Et pour deviner quoi ? Afin de s’assurer la victoire, le véreux dirigeant doit veiller à ce qu’au moins un des juges élu soit favorable à sa cause. Ainsi, cette élection est le sujet principal du roman. Nous assistons à la mise en route d’une machination minutieuse, à plusieurs niveaux de pouvoir. Une mécanique subtile et perverse, une plongée dans les recoins les plus sombres de l'âme humaine..
Le sujet est passionnant. Une fois l'intrigue installé et les personnages bien en place, tout est juste parfait. Alors oui, les faits et les événements sont fictifs mais plus vrais que dans la réalité vraie !
J'ai découvert John Grisham, il n'y a pas si longtemps, avec Le Manipulateur, et depuis lors c'est devenu l'un de mes auteurs préférés.
Deuxième roman de l'année 2016, après ma lecture du pavé Duma Key de Stephen King, et deuxième excellent surprise et grand moment de lecture.
De quoi ça cause :
20ème siècle,
4/5,
états-unis,
John Grisham,
justice américaine,
manipulation,
Mississipi,
politique,
thriller
There will be blood de Paul Thomas Anderson
Paul Thomas Anderson, proclamé par moi-même plus grand réalisateur du monde, dissèque, dans ce There will be blood, la trajectoire d'un ouvrier parti de rien. que le sens des affaires et la haine de son prochain vont transformer en magnat du pétrole.
Souvent privé de dialogues, enchaînant sur plus de deux heures de purs morceaux de cinéma.
Du pur Paul Thomas Anderson...
Souvent privé de dialogues, enchaînant sur plus de deux heures de purs morceaux de cinéma.
Du pur Paul Thomas Anderson...
Duma Key de Stephen King
Ce Stephen King traînait dans ma bibliothèque des puis des années. Je me souviens vaguement l'avoir acheté à sa sortie, l'avoir commencé et abandonné en cours de route.
Venant de terminer Joyland, j'ai eu envie de revenir vers King alors pourquoi ne pas reprendre la lecture de ce Duma Key (Me voila retombé dans mes travers de jeunesse) ?
Aussi, à l'image de sa couverture, Duma Key est un tableau magnifique teinté de magies et d'horreurs.
Alors, de quoi ça cause ?
"Duma Key, une île de Floride à la troublante beauté, hantée par des forces mystérieuses, qui ont pu faire d'Edgar Freemantle un artiste célèbre… mais, s'il ne les anéantit pas très vite, elles auront sa peau ! Dans la lignée d'Histoire de Lisey ou de Sac d'os, un King subtilement terrifiant, sur le pouvoir destructeur de l'art et de la création."
Une chose est sûre, Duma Key n'est pas un roman que lit d'une traite mais de ceux qui se déguste lentement et maintenant terminé, je comprends pourquoi je l'avais laché la première fois : Duma Key est un livre riche et envoûtant mais il faut s'accrocher pour prendre conscience de sa force. Pourtant, Duma Key est un texte très visuel et très dynamique. Les personnages sont tous vivants et attachants, Wireman (Hé Muchacho) est excellent !
Malgré quelques incohérences et l'absence de certains détails qui auraient été bienvenus, Duma Key est malgré tout dans la veine des grands romans du King, à la fois puissant et vigoureux tout en gardant une parfaite maîtrise de son sujet.
Un formidable moment de lecture.
Venant de terminer Joyland, j'ai eu envie de revenir vers King alors pourquoi ne pas reprendre la lecture de ce Duma Key (Me voila retombé dans mes travers de jeunesse) ?
Aussi, à l'image de sa couverture, Duma Key est un tableau magnifique teinté de magies et d'horreurs.
Alors, de quoi ça cause ?
"Duma Key, une île de Floride à la troublante beauté, hantée par des forces mystérieuses, qui ont pu faire d'Edgar Freemantle un artiste célèbre… mais, s'il ne les anéantit pas très vite, elles auront sa peau ! Dans la lignée d'Histoire de Lisey ou de Sac d'os, un King subtilement terrifiant, sur le pouvoir destructeur de l'art et de la création."
Une chose est sûre, Duma Key n'est pas un roman que lit d'une traite mais de ceux qui se déguste lentement et maintenant terminé, je comprends pourquoi je l'avais laché la première fois : Duma Key est un livre riche et envoûtant mais il faut s'accrocher pour prendre conscience de sa force. Pourtant, Duma Key est un texte très visuel et très dynamique. Les personnages sont tous vivants et attachants, Wireman (Hé Muchacho) est excellent !
Malgré quelques incohérences et l'absence de certains détails qui auraient été bienvenus, Duma Key est malgré tout dans la veine des grands romans du King, à la fois puissant et vigoureux tout en gardant une parfaite maîtrise de son sujet.
Un formidable moment de lecture.
De quoi ça cause :
4/5,
culpabilité,
littérature américaine,
malédiction,
peinture,
roman fantastique,
stephen king,
surnaturel
Comme une envie d'écouter David Bowie
Difficile, après avoir été accompagné depuis si longtemps par ses chansons, de se dire que David Bowie est mort. Le choc ce matin, le ventre crevé.
Je crois que c'est la première fois que le décès d'un artiste me choque autant. J'avais ses dernières photos en tête, vraiment l'image d'un type vivant, qui veut avancer.
David Bowie est IMMORTEL !
Meilleurs voeux 2016
Meilleurs Vœux pour 2016 aux lectrices et aux lecteurs de polars.
Avec les fêtes, ma P.A.L vient de recevoir sa dose de "rock".
Avec les fêtes, ma P.A.L vient de recevoir sa dose de "rock".
Au programme :
- The man who Led Zeppelin : L'incroyable odyssée de Peter Grant, le cinquième homme
- IT'S SO EASY Et autres mensonges, l'autobiographie de Duff McKagan; le bassiste du groupe Guns N'Roses
- The Heroin diaries : une année dans la vie d'une rock star brisée, encore l'autobiographie d'un bassiste mais cette fois il s'agit de Nikki Sixx, bassiste de Mötley Crüe.
Je profite de ce billet pour partager mon enthousiasme, un peu hors sujet.
En effet, les rumeurs courent depuis plusieurs mois, mais ça y est , le groupe Guns N'Roses se reforme pour une série de concert et, peut-être, une tournée mondiale...
J’ai commencé à écouter les Guns N Roses lorsque j’avais 13 ans. Nous étions en plein période Use Your Illusions et le groupe était le plus grand groupe du monde (100 millions d'albums) . Mais c’est aussi à cette époque que le groupe passe de mode et laisse la place à Nirvana, au Red Hot Chili Peppers (Je me souviens aussi d’une grosse vague Faith No More).
Le groupe explose et pendant des années, j’ai rêvé les voir sur scène et je n’ai plus écoute le groupe pendant une assez longue période. En 2002, je me souviens de l’apparition d’Axl au MTV Awards et du gros changement de style musical, plus de Slash ou de Duff McKagan, et une influence marqué par Buckethead et Trent Reznor. 2006, concert à Bercy avec un axl en pleine forme et des musiciens excellents. A partir de cette date, je n’ai raté presque aucun concert de ce line-up, de ce nouveau Guns N Roses, parcourant plusieurs centaine de kilomètres, comme une groupie en chaleur, pour ne rater aucune date de leur passage dans l’hexagone. En parallèle, j’ai suivi les carrières de chaque musicos du groupe et également vu plusieurs fois en concert, Slash et les Velvet, Slash et Myles Kennedy, je ne sais combien de fois, Duff McKagan avec son groupe Loaded, Gilby Clarke ou encore Steven Adler et Adler Appetite.
Et là, le rêve est sur le point de se réaliser : Une réformation du Line-up original ou de quelque chose qui s’y rapproche ( Richard Fortus dans la bande ? )
Il n’y a plus qu’a croiser les doigts pour que mon rêve de gosse se réalise !
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