
J’ai donc acheté, la semaine dernière, mon premier roman de la Série Noire (il porte le numéro 158), chez un bouquiniste Boulevard St-Germain pour 1,5 euros.

C’est un régal de suivre les aventures de ces truands bien de chez nous, même si le roman est le récit violent d’un conflit entre truand. En remettant l’histoire dans son contexte et au début des années 50, je comprend maintenant pourquoi « Touchez pas au grisbi » fut le premier succès de la collection.
Autre point intéressant, qui change des mes lectures habituelles est l’utilisation d’une narration à la première personne.
L’auteur fait preuve d’un talent certain et maîtrisant toute les techniques pour faire un excellent récit.
Bref, il est temps pour moi de intéresser de plus prêt aux auteur de la Série noire...